Ukraine: le gouvernement veut rétablir les relations économiques avec Moscou

Le gouvernement ukrainien fera tout son possible pour rétablir les relations économiques et commerciales avec la Russie, a déclaré vendredi le premier ministre Nikolaï Azarov rencontrant les représentants des principales entreprises industrielles et agricoles du pays.

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samedi 14 décembre 2013

L'adieu à Nelson Mandela : le prix Nobel entame son dernier voyage


adieu nelson mandela
Nelson Mandela entame son dernier voyage le 14 décembre 2013 | AFP

MANDELA - L'ANC, le parti au pouvoir en Afrique du Sud, a offert un dernier hommage émouvant à Nelson Mandela samedi 14 décembre au matin sur l'aéroport militaire de Pretoria, avant le transfert du corps vers Qunu, le village de son enfance, où il sera inhumé dimanche. Son cercueil, drapé dans les couleurs de l'Afrique du Sud démocratique dont il a été le premier président, a été transféré tôt le matin de l'hôpital vers la base aérienne militaire de Waterkloof près de Pretoria.
Extrait avec précaution du corbillard, le cercueil a été ensuite recouvert de vert émeraude, couleur du Congrès national africain (ANC), le parti de Mandela dont il fonda et anima la branche armée Umkhonto we Sizwe (La Lance de la nation) à partir de 1961, et auquel il montra toute sa vie une fidélité sans faille.
LIRE AUSSI :» La police débordée par la foule
"J'ai vu son armée, j'ai vu son peuple, j'ai vu les Sud-Africains ordinaires"
Mandla, l'aîné masculin des petits-fils de Mandela, en complet sombre, a longuement retracé la vie de son grand-père. "Ces derniers jours, je suis resté auprès de mon grand-père tandis que son corps était exposé", a déclaré Mandla, "j'ai vu son armée, j'ai vu son peuple, j'ai vu les Sud-Africains ordinaires, qui ont parcouru avec lui ce long chemin vers la liberté", a-t-il dit.
En trois jours, de mercredi à vendredi, jusqu'à 100.000 Sud-Africains se sont inclinés devant la dépouille de Nelson Mandela exposée à Pretoria, quelques impatients ayant même débordé la police vendredi pour pouvoir poser un dernier regard sur leur héros. Mardi, le monde lui avait rendu un hommage officiel dans le stade de Soweto en présence d'une centaine de chefs d'Etat et de gouvernement.
Mandla a raconté, en guise de souvenir, qu'il entendait dans son enfance les habitants des township crier "Amandla" (Pouvoir!) et "Viva Mandela!". "Je croyais que j'étais un enfant très populaire", a-t-il dit, arrachant un sourire grave à l'assistance et à la famille, dont l'épouse de Mandela Graca Machel, 68 ans, et son ex-épouse Winnie Madikizela-Mandela, le visage marqué.
"Nous avons besoin d'autres Madiba pour que notre pays puisse prospérer"
Puis le président Jacob Zuma a rendu son propre hommage, insistant sur les qualités de leader du défunt, sa force de persuasion mais aussi sa capacité à pardonner. "La question, a dit M. Zuma, est: pouvons-nous produire à l'ANC d'autres Madiba? (...) Nous avons besoin d'autres Madiba pour que notre pays puisse prospérer";
"Oui, nous sommes libres, mais le défi de l'inégalité demeure. La pauvreté demeure. Le chômage demeure, et c'est pourquoi notre défi à tous en mémoire de Madiba est de nous impliquer plus pour faire ce que Madiba a fait", a-t-il ajouté. Debout devant deux grandes affiches d'un Madiba tout sourire, surlignées des mots: "L'icône de notre lutte, le père de notre Nation", le président Zuma a ensuite entraîné l'assistance dans un long et profond chant d'hommage à Mandela, selon la tradition sud-africaine.
Les rites du peuple Xhosa
Selon le programme de la cérémonie, au dos duquel le poème préféré de Mandela "Invictus" a été imprimé, l'avion transportant le cercueil devait ensuite décoller vers 09h30 (07H30 GMT) à destination de Qunu, avec de l'avance sur le programme initial. Il devait se poser sur l'aéroport de Mthatha, la petite ville la plus proche. Le convoi funéraire devait ensuite faire deux haltes dans la ville, afin de permettre à la foule de dire un adieu à son héros de retour sur la terre de ses ancêtres.
Puis il devait prendre la route de Qunu, sur une trentaine de kilomètres, pour gagner la maison où Nelson Mandela avait passé ses dernières années avant d'être ramené à Johannesburg pour raison de santé. Là s'achèvera le très long chemin du père de la démocratie sud-africaine, mort à l'âge de 95 ans le 5 décembre.
Dimanche matin, une cérémonie regroupant à Qunu environ 5.000 invités sera retransmise à la télévision. C'est après seulement que le corps prendra le chemin du petit cimetière familial, à quelques centaines de mètres. Mandela y sera inhumé auprès de ses parents et de ses trois enfants décédés. La famille a fait savoir que la mise en terre se ferait dans l'intimité la plus stricte. Aucune image télévisée ou photo ne sera autorisée.
Selon la coutume, des rites xhosas, dont l'égorgement d'un boeuf, seront pratiqués et des aînés du clan Thembu, dont était issu Mandela, prendront la parole autour de la tombe. "Des funérailles sont une cérémonie complexe qui demande notamment de communiquer avec les ancêtres et de permettre à l'esprit du défunt de reposer", a expliqué le chef Jonginyaniso Mtirara, du clan Thembu.

vendredi 13 décembre 2013

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Ukraine: le gouvernement veut rétablir les relations économiques avec Moscou

Nikolaï Azarov

Le gouvernement ukrainien fera tout son possible pour rétablir les relations économiques et commerciales avec la Russie, a déclaré vendredi le premier ministre Nikolaï Azarov rencontrant les représentants des principales entreprises industrielles et agricoles du pays.
"Il est clair que pour éviter le krach de l'économie, et vous (les participants à la réunion) avez cité des chiffres très importants attestant de la chute des échanges commerciaux avec la Russie, nous devons, comme je l'ai déjà signalé, rétablir complètement nos échanges  avec la Fédération de Russie. Soyez sûrs que nous ferons tout notre possible pour atteindre cet objectif", a assuré le chef du gouvernement ukrainien.

François Hollande, le bébé centrafricain

François Hollande, le bébé centrafricain
Photo
ci-dessus
François Hollande
C'est une touchante photo de François Hollande qui a été récemment diffusée. Prise en République Centrafricaine, on peut l'y reconnaître nourisson dans les bras de sa maman.

Sofia Findiro est une maman rayonnante, en dépit de la violence que subit actuellement son pays. Elle vient de mettre au monde un petit garçon qu'elle a baptisé François Hollande.
Cette femme centrafricaine, qui vit provisoirement dans un camp de réfugiés situé non loin de l'aéroport de Bangui, capitale du pays, pose épanouie et souriante devant l'objectif de Patrick Fort.

 (PATRICK FORT / AFP)

Et pour cause, elle tient dans ses bras un enfant à qui elle a donné le nom du président de la République française, qui s'est rendu mardi à Bangui. Un témoignage de reconnaissance après l'intervention des forces françaises dans son pays.
Cette photo est aussi un signe d'espoir alors que le pays, meurtri par une cruelle guerre civile, espère que la présence des soldats tricolores viendra stabiliser la situation d'une nation déchirée. Deux parachutistes français du 8e RPIMa ont déjà payé cet engagement de leurs vies.

Ukraine: Poutine fait miroiter des avantages économiques

Le président russe Vladimir Poutine a fait miroiter jeudi les avantages économiques d'un rapprochement avec Moscou à l'Ukraine, où les opposants favorables à l'UE ont entamé leur quatrième semaine de contestation après la volte-face du pouvoir sur l'intégration européenne.
(c) Afp
Le président russe Vladimir Poutine a fait miroiter jeudi les avantages économiques d'un rapprochement avec Moscou à l'Ukraine, où les opposants favorables à l'UE ont entamé leur quatrième semaine de contestation après la volte-face du pouvoir sur l'intégration européenne. (c) Afp
Kiev (AFP) - Le président russe Vladimir Poutine a fait miroiter jeudi les avantages économiques d'un rapprochement avec Moscou à l'Ukraine, où les opposants favorables à l'UE ont entamé leur quatrième semaine de contestation après la volte-face du pouvoir sur l'intégration européenne.
A Bruxelles, l'Union européenne a proposé à l'Ukraine de préparer une "feuille de route" pour la mise en oeuvre d'un accord d'association, à condition que Kiev s'engage à signer cet accord.
La mobilisation sans précédent de l'opposition en Ukraine a été déclenchée par le refus des autorités de signer un accord d'association avec l'UE fin novembre, au profit d'un rapprochement avec la Russie.
Alors que l'UE et les Etats-Unis soutiennent l'opposition ukrainienne - Washington évoquant même la possibilité de sanctions contre le pouvoir du président Viktor Ianoukovitch -, Vladimir Poutine a assuré jeudi que la porte de l'Union douanière menée par Moscou restait ouverte pour l'Ukraine et que ce projet d'intégration était préférable pour Kiev.
"Nous n'imposons rien à personne, mais si nos amis le souhaitent, nous sommes prêts à poursuivre le travail en commun" sur la participation de l'Ukraine à l'Union douanière qui rassemble pour l'instant la Russie, le Bélarus et le Kazakhstan, a déclaré M. Poutine.
Intérêts économiques réels
"Notre projet d'intégration est fondé sur un principe d'égalité et sur des intérêts économiques réels", a ajouté le président russe. Accusée par les Occidentaux de s'être livrée à des pressions économiques et à une intimidation "inacceptables", la Russie a joué un rôle décisif pour dissuader l'Ukraine, en grave crise économique, de l'association avec l'UE.
Dans la soirée, le commissaire européen chargé de la Politique de voisinage, Stefan Füle, a énoncé la position de l'UE à l'issue d'une longue rencontre à Bruxelles avec le vice-Premier ministre ukrainien Serguiï Arbouzov. "Sur la base d'un engagement clair de l'Ukraine de signer cet accord, nous préparerons une feuille de route" pour sa mise en oeuvre, a déclaré M. Füle.
Pour M. Füle, "l'offre est toujours sur la table", et l'UE est "prête à signer (l'accord) dès que les autorités ukrainiennes seront prêtes et auront démontré leur engagement".
Concernant le montant de l'aide que réclame l'Ukraine, un des problèmes soulevés par Kiev, le commissaire européen a promis que le soutien financier de l'UE serait "à la hauteur des ambitions de l'Ukraine". Mais il s'est refusé à fournir des chiffres, alors que le Premier ministre ukrainien Mykola Azarov avait demandé mercredi à l'UE une aide de 20 milliards d'euros.
"L'Ukraine signera prochainement l'accord, en prenant en compte ses intérêts stratégiques", a pour sa part déclaré M. Arbouzov. "Nous avons la volonté politique, quand nous serons d'accord, nous signerons", a-t-il ajouté, sans être en mesure de donner une date.
A Kiev, l'opposition a appelé à une nouvelle grande manifestation dimanche à 12H00 (10H00 GMT), similaire à celles des deux dimanches précédents qui avaient rassemblé des centaines de milliers de personnes.
"L'objectif principal est d'empêcher le président Ianoukovitch de rejoindre l'Union douanière pendant sa visite en Russie le 17 décembre", a expliqué Arseni Iatseniouk, chef de file du parti de l'opposante emprisonnée Ioulia Timochenko.
Les manifestants pro-UE sont restés déterminés à rester sur la place de l'Indépendance après un assaut avorté la veille des troupes anti-émeutes contre leur camp installé dans le centre de Kiev. Ils ont dressé de nouvelles barricades à la place de celles démontées par les forces de l'ordre.
Les troupes anti-émeutes ont tenté dans la nuit de mardi à mercredi de disperser les manifestants sur la place de l'Indépendance au moment même où les représentants de l'UE et des Etats-Unis se trouvaient à Kiev pour tenter de trouver une solution à la crise avec les autorités ukrainiennes.
A la suite de ces événements, les Etats-Unis ont annoncé réfléchir à des sanctions contre Kiev, réclamées par les manifestants. "Nous envisageons certaines options politiques - bien évidemment aucune décision n'a été prise - et les sanctions en font partie", a déclaré mercredi la porte-parole de la diplomatie américaine, Jennifer Psaki.
Le 17 décembre, le président Ianoukovitch devrait se rendre à Moscou pour y rencontrer Vladimir Poutine. Selon l'opposition, il va "vendre l'Ukraine à la Russie". M. Ianoukovitch pourrait, selon les opposants, signer à cette occasion un accord prévoyant l'adhésion de Kiev à l'Union douanière menée par Moscou. Les autorités ukrainiennes ont catégoriquement démenti.
Le vice-Premier ministre russe Igor Chouvalov a toutefois noté jeudi que Kiev montrait la volonté de coopérer étroitement avec Moscou.
"L'Ukraine décidera du statut qui lui convient le mieux: négocier avec l'Union européenne sur une zone de libre échange ou développer des liens économiques plus étroits avec la Russie", a-t-il dit sur la chaîne de télévision Rossia 24.
"Ces dernières semaines, la partie ukrainienne nous propose une coopération approfondie dans le domaine industriel", a-t-il souligné. En récession et proche de la faillite, l'Ukraine espère obtenir à Moscou une baisse du prix du gaz, voire un crédit de milliards de dollars.

lundi 16 septembre 2013

Turquie : 11 des 12 détenteurs de gaz sarin libérés


La Turquie a libéré 11 des 12 membres d’Al-Qaïda arrêtés le mois de mai dernier en possession de gaz sarin.
Selon le journal turc Taraf, ils ont été libérés malgré le chef d’accusation les inculpant décrété par le tribunal d’Adana.
D’après le journal, c’est la Justice turque qui a relâché les accusés précédemment sous prétexte qu’ils ne savaient pas la nature des matériaux entre leurs mains.
Ce que conteste le Tribunal d’Adana, selon lequel il n’est pas du tout vrai qu’ils ignoraient détenir des produits chimiques toxiques.
S’agissant du 12ème détenu encore séquestré, il s’agit d’un syrien de 35 ans.  Alors que des Turcs figurent parmi les 11 autres.
Des observateurs s'étaient étonnés que l'affaire des 12 extrémiste d'al-Qaida arrêtés à Adana en possession de gaz sarin ait été traité dans la grande clandestinité et ont soupçonné des manoeuvres du gouvernement turc soupçonné de porter main forte aux rebelles en Syriens, don les miliciens jihadistes d'al-Qaïda.

almanar.com.lb

Une résolution menaçant la Syrie peut faire échouer le processus de paix

Une résolution menaçant la Syrie peut faire échouer le processus de paix La Russie a souligné lundi qu'elle comptait sur les Etats-Unis pour s'en tenir à l'accord de Genève sur les armes chimiques syriennes, mettant en garde contre une résolution prévoyant des menaces qui ferait échouer le processus de paix.
"Je suis certain que malgré toutes les déclarations émanant de certaines capitales européennes, la partie américaine s'en tiendra strictement à ce qui a été convenu", a déclaré devant la presse le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, ajoutant qu'agiter des menaces pouvait "faire échouer" le processus de paix.